C'est là-bas qu'on les arrête! Aidez-moi! |
Les Forces armées canadiennes
La marine, l'
et l'aviation canadiennes de la
Deuxième Guerre mondiale étaient toutes trois, à
l'origine, constituées de très petites forces permanentes
appuyées par des réservistes qui s'entraînaient quand
ils le pouvaient le soir, la fin de semaine et l'été. Les
trois forces en vinrent à avoir, pendant le conflit, des effectifs
plus de cent fois supérieurs à ceux d'avant-guerre. Cette
croissance ne se fit pas sans mal. Toutes eurent de la difficulté
à trouver des chefs solides et compétents et eurent recours
à de nombreux officiers venus du civil, mais la direction des forces
demeura dans l'ensemble entre les mains de ceux qui s'y trouvaient
déjà avant le déclenchement de la guerre. Les autorités britanniques acceptaient difficilement que le
Canada soit devenu indépendant de la Grande-Bretagne, sa
« mère-patrie ». Au cours de la Première Guerre mondiale,
le gouvernement canadien et ses soldats en Grande-Bretagne durent faire
des pieds et des mains pour obtenir que les Britanniques reconnaissent le
caractère véritablement canadien du Corps
expéditionnaire canadien. Au début de la Deuxième
Guerre mondiale, le gouvernement britannique et les officiers de l'
britannique étaient conscients que l'
canadienne ne leur appartenait plus, mais ils s'attendaient toujours
à pouvoir en utiliser les composantes à leurs propres fins
et selon leur bon plaisir. Les officiers supérieurs de la Royal Air
Force préféraient la simplicité d'une force
aérienne impériale unique. Cela ne leur plaisait pas d'avoir
des escadrons distincts pour les équipages canadiens et ils s'opposaient au
regroupement de ces escadrons en formations canadiennes. La marine fut
soumise à des pressions tant britanniques qu'américaines pour
que ses navires puissent être utilisés sans la permission des
dirigeants canadiens. Articles de journaux d'intérêt
Articles en français
-
Pour fournir des renforts aux unités en service outre-mer
Le Devoir, 19/04/1940
-
"Le Canada demande 75,000 volontaires"
Le Devoir, 11/07/1940
-
L'équipement de nos troupes en Angleterre
Le Devoir, 16/08/1940
-
Les 39 centres d'instruction militaire au Canada
Le Devoir, 17/08/1940
-
Entretien avec le général Laflèche
Le Devoir, 03/08/1940
-
Au collège militaire de Kingston
Le Devoir, 24/08/1940
-
La mobilisation - Ce que sera la part du Québec
Le Devoir, 12/09/1940
-
Le recrutement. Coopération des trois services
Le Devoir, 15/04/1941
-
Pas de Canadienne outre-mer
Le Devoir, 13/06/1941
-
Tâche paradoxale de l'ingénieur militaire
Le Devoir, 09/07/1941
-
Le ravitaillement de l'armée en campagne
Le Devoir, 11/07/1941
-
"10,000 Américains dans l'armée canadienne"
Le Devoir, 24/09/1941
-
L'insigne 'Canada'
Le Devoir, 29/10/1941
-
Le rapport du ministère de la Défense
Le Devoir, 06/11/1941
-
"Le service militaire. Jusqu'ici le Québec a donné 35,017 recrues, contre l'Ontario, 34,561"
Le Devoir, 10/01/1942
-
Statistiques de l'entôlement au Canada.
Le Devoir, 17/02/1942
-
800 médecins pour les forces armées
Le Devoir, 20/03/1942
-
"D'ici un an, il y aura au moins 610,000 Canadiens sous les armes"
Le Devoir, 26/03/1942
-
"Le Canada a besoin de plus de 500 médecins pour les trois services de l'Armée, de l'Air et de la Marine"
Le Devoir, 16/09/1942
-
Les aumôniers militaires
Le Devoir, 28/09/1942
Articles en anglais
|